Pierre Trendel envisage un coworking pour l'agglomération Lilloise. Réserver un espace sur www.workcamp.fr
"L’ambition de ce projet lillois tournera autour de l’axe principal de l’éco-innovation, c’est à dire toute idée, action, process prenant place dans les pratiques professionnelles de chacun, qui crée et permet de créer une nouveauté en accord avec les principes du développement durable (respect de l’environnement, équité sociale et économique). Pour mener à bien cette ambition, l’espace proposera des débats, workshop, formations, projets collaboratifs…
Pour qui?
De nombreuses professions peuvent être exercées en coworking dès l’instant où elles se pratiquent de manière individuelle, sans subordination, sans équipement et matériel nécessitant des installations spécifiques. A titre d’exemple, participent généralement à un espace de coworking :
- les créatifs (graphiste, photographe, designer,…)
- les professionnels du multimédia et du design (infographiste,
maquettiste, webdesigner, webmaster, concepteur web, blogueur, community
manager, flasheur…)
- les métiers du développement informatique
- les professions libérales réglementées ou non (architecte, avocat,
comptable, consultant, …)
- les métiers de l’information et de la communication (journaliste,
relations presse, …)
Toutes les formes de travail indépendant sont possibles : freelance, entreprise individuelle, auto-entrepreneur, consultant… ainsi que certaines formes de télétravail salarié dans le cadre d’un accord avec l’entreprise.
Comment cela fonctionne ?
Il y a plusieurs manières d’être présent dans un coworking :
- de manière permanente en y installant son bureau que l’on loue au sein
de l’espace partagé. On devient résident et l’on dispose d’une place
attitrée.
- de manière ponctuelle sous la forme de forfait horaire mensuel.
Devenir membre pour 50 heures / mois par exemple vous permet de profiter
de l’espace environ 1,5 jours par semaine. Vous occupez alors une
place disponible à votre arrivée et bénéficiez de tous les services
proposés par l’espace.
- de passage, pour quelques heures ou de manière très irrégulière en
payant un « ticket horaire » comme vous le feriez en allant travailler
dans un café.
Tous bénéficient des services communs :
- connexion internet haut débit
- espace de rencontre et de détente
Les résidents et membres peuvent utiliser et réserver les services
complémentaires :
- Espace de stockage de données et de sauvegarde
- Salle de réunion / conférence / formation
- Espace de rangement privatif (résident uniquement)
L’espace de coworking est un espace vivant qui héberge et anime régulièrement des évènements, conférences, formations, ateliers, …" Pierre
Bonjour à tous, je vous fait cette proposition de local à Paris. Merci de réserver ou de vous manifester à nouveau sur www.workcamp.fr
A la sortie du métro crimée, ligne 7, à côté du Monoprix, Castorama et HSBC. 5mn à pied du quai de l'oise. Proche des commerces donc, mais également dans une résidence privée calme, arborée et sécurisée. Possibilité de manger dans le parc privée, dans un restaurant à proximité, ou sur les quais. Accès jusqu'à 20h et au delà par code d'accès. Surface d'environ 140 m² au total, plain pied, divisé en 4 bureaux plus salle de conférence. Espace pour 20 coworkers en moyenne. 2 parkings disponibles en sus. Sécurisé par gardien.
1e bureau : 8-10 personnes
2e bureau : 4-6 personnes
3e bureau : 3-4 personnes
4e bureau : 3-4 personnes
Je n'ai pas de photos à vous présenter car nous devons effectuer des travaux de peinture et d'aménagement durant le mois de Mars si ce local vous satisfait en description. Le local serait ainsi prêt pour le mois d'Avril logiquement. Loyer fixé à 400€ par personne (poste de travail) TTC, incluant tous les services, durant 3 mois minimum. Dépôt de garantie de 3 mois également restitué après le départ.
Dans un contexte de flambée de l'immobilier, l'heure, pour les entreprises, est à la rationalisation de l'espace de travail. Selon Cushman & Wakefield, un tiers des sociétés françaises prévoient de réduire en 2008 la surface moyenne allouée à chaque salarié. Elle est actuellement de 12,6 m². Leurs leviers ? Le télétravail mais aussi l'open-space et les bureaux partagés.
En parallèle de ces évolutions, voire pour atténuer leurs effets secondaires, certaines entreprises mettent l'accent sur la convivialité. Couleurs, agencement de l'espace... Découvrez en images comment les entreprises concilient ces deux enjeux.
La transparence est devenu un leitmotiv de l'architecture de bureaux. L'objectif : symboliser dans l'environnement quotidien des collaborateurs ce qui est souvent élevé au rang de valeur de l'entreprise.
Utiliser la lumière du jour pour éclairer ses locaux présente bien des avantages : pour limiter la consommation d'énergie tout d'abord mais aussi pour préserver le bien-être et la santé de ses collaborateurs. C'est d'ailleurs dans cet esprit que la loi impose en France que les bureaux où travaillent les salariés disposent d'une ouverture laissant entrer la lumière du jour.
Finies les plantes artificielles : la nature, la vraie, s'est fait une place dans les entreprises. On les retrouve dans les bureaux, les halls d'accueil, au détour d'un couloir mais aussi sur les toits et les murs. Ce sont parfois de véritables jardins intérieurs conçus par des paysagistes.
A l'heure où les open-spaces ont plus que jamais la cote, de petits espaces de réunion sont de plus en plus souvent aménagés dans les bureaux. Ils permettent de se regrouper à deux ou trois sans avoir pour autant à réserver la grande salle de réunion de l'étage. Pour rationaliser l'espace, l'une des solutions alternatives à l'open-space est d'avoir recours aux bureaux partagés. Le principe : un seul poste de travail équipé pour plusieurs salariés. Chacun l'occupe à tour de rôle, branchant son ordinateur portable à un emplacement libre le matin et faisant place nette le soir quand il s'en va. Le "share-desk" est une solution que l'on peut utiliser pour des équipes très mobiles, comme des consutlants, souvent chez le client, ou des commerciaux. Il nécessite en revanche une étude approfondie des habitudes de ses salariés et une communication importante pour accompagner le changement.
Symbole de modernité, la couleur apporte une touche de gaité à des bureaux plus habitués au marron ou au gris il n'y a pas si longtemps de cela. La couleur peut être apportée par la décoration et le mobilier mais aussi des éléments architecturaux design comme c'est le cas de cet escalier. ... ou la sobriété du blanc. En réfléchissant le moindre rayon de soleil, les tons très clairs viennent agrandir les espaces. Ils sont donc parfaits pour des bureaux rendus de plus en plus exigus par la flambée de l'immobilier.
Quand la traditionnelle machine à café ne suffit plus. Des lieux de détente dans l'entreprise, est-ce vraiment nécessaire ? Tout dépend du temps que les collaborateurs passent sur leur lieu de travail et de la culture d'entreprise qu'on souhaite véhiculer.
"J'ai toujours été frappé par l'écart entre les 15 millions "d'entrepreneurs velléitaires", qui aimeraient bien, "un jour", créer leur entreprise et les 250 000 créateurs d'entreprise, qui chaque année, passent à l'action.
Le nouveau statut d'auto-entrepreneur, applicable en 2009, permettra de créer une entreprise sans risque, sans contrainte administrative et avec des impôts et charges payés au prorata du chiffre d'affaires. 80.000€ maximum annuel pour la revente de produits.
Pour qui? Les petits e-commerçants, dont les 15 à 30.000 vendeurs professionnels des sites CtoC, les gens qui tirent des revenus de leurs sites en publicité ou en affiliation. Bref tous ceux qui considèrent qu'ils ont une activité professionnelle, et qui ne choisissent pas le travail au noir. Ce statut s'adresse également aux personnes qui veulent tester une idée, avant de créer éventuellement une entreprise si elle fonctionne. Car le e-commerce permet à chacun de transformer facilement une passion en business.
Cinq mesures concernent tout particulièrement la vente à distance traditionnelle et sur Internet. La fameuse Loi Chatel. Parmi celles-ci, deux rencontrent l'incompréhension des e-marchands qui redoutent que l'application de cette loi n'entraîne l'augmentation de leurs coûts. "Indiquer, avant la conclusion du contrat, la date limite à laquelle il s'engage à livrer le bien ou exécuter la prestation de services"
"Fournir des coordonnées téléphoniques permettant d'entrer effectivement en contact avec le vendeur"
"Les moyens de communication permettant (...) de suivre l'exécution de sa commande, d'exercer son droit de rétractation ou de faire jouer la garantie ne supportent que des coûts de communication, à l'exclusion de tout coût supplémentaire spécifique"
Indiquer "l'existence d'un droit de rétractation, et ses limites éventuelles ou, dans le cas où ce droit ne s'applique pas, l'absence d'un droit de rétractation"
"Lorsque le droit de rétractation est exercé, le professionnel est tenu de rembourser le consommateur de la totalité des sommes versées, dans les meilleurs délais"
La conclusion de Marc Lolivier, délégué général de la Fevad, est sans appel : "ce sont des mesures anti-pouvoir d'achat : elles aboutiront soit à une dégradation de la qualité des services, soit à une hausse des prix. Dans les deux cas, ce sont de mauvaises nouvelles." Il estime à 80 millions d'euros le coût annuels pour le secteur de l'application de l'ensemble des mesures de la loi.
Le commerce électronique profiterait-il de la crise ? En dépit d'un contexte économique difficile, 86 % des internautes ont en tout cas commandé ou acheté au moins un article sur Internet au cours des douze derniers mois, selon cette étude de l'Ifop pour L4 Logistics. 17 % des répondants en ont commandé 15 ou plus. Pour l'ensemble de la population internaute, la moyenne annuelle atteint 9,4 produits. A noter que pour cette question, voyages, spectacles et autres produits immatériels n'étaient pas pris en compte. Deux tiers des internautes disent avoir acheté sur les douze derniers mois des produits culturels. Viennent ensuite l'habillement et le high-tech, les deux autres poids lourds tradtionnels de l'e-commerce, suivis du voyage. Seuls 15 % des internautes ont acheté en ligne au moins un produit alimentaire.
Internet est un canal de vente à part entière. Pourtant, certains petits commerçants l'appréhendent comme le simple prolongement de leur boutique. Si le e-commerce est bien sûr d'abord du commerce, il faut cependant éviter de se contenter de transférer son activité en ligne. Ainsi, proposer sur sa nouvelle boutique en ligne l'intégralité de son catalogue n'est généralement pas une bonne idée. "Sur le Web, il faut savoir construire une offre homogène, en termes de niveau de prix par exemple", explique Marc Schillaci, PDG d'Oxatis, un éditeur de solution e-commerce pour TPE-PME.
Le dynamisme de l'e-commerce donne la fausse impression que tout marchand en ligne rencontre le succès sans trop d'effort. Or il faut passer du temps au quotidien pour gérer son activité sur le Web. Ecouter ses clients : Dans l'optimisation de son site, le rôle des internautes est important. Car leurs remarques et leurs critiques peuvent aider le marchand à améliorer des aspects essentiels comme le positionnement, les fonctionnalités ou encore les informations sur les produits. "Une des erreurs répandues consiste à se dire : 'mon premier positionnement est le bon'. Ce n'est pas toujours le cas et il savoir évoluer", explique Marc Schillaci.
Sur le Web, le marketing relève une importance plus grande encore. Mieux vaut donc consacrer le budget nécessaire pour s'assurer que sa boutique en ligne soit bien visible. Mais faire du marketing en ligne ne suffit pas. Il faut également en mesurer l'efficacité. Le trafic du site compte évidemment, mais le petit commerçant devra surtout surveiller le taux de transformation, plus important encore, des différents outils marketing. VOIR DOSSIER REFERENCEMENT.
Avant toute chose, l'internaute doit comprendre en un clin d'œil ce que vend le site marchand. A cet effet, une (ou plusieurs) photo de produits est naturellement le plus indiqué. Elle rejoint les incontournables : logo, moteur de recherche et panier. Le site doit également tout de suite mettre en avant les principaux éléments de réassurance. Paiement sécurisé, service client, blog s'il en existe un, services principaux comme par exemple la livraison gratuite... Ce sont ces éléments qui vont témoigner du sérieux du site. Ils doivent donc être placés au dessus de la barre de scroll. L'actualité saisonnière fournira aussi de belles occasions de mettre sa page d'accueil aux couleurs de Noël, de la fête des mères, des vacances... "Ce n'est que du graphisme, mais il est associé à des moments agréables de la vie, explique Laure Sauvage. Les habillages saisonniers sont toujours appréciés."
Par ailleurs, de plus en plus de sites marchands placent en home des contenus de nature éditoriale, détaillant la tendance du moment ou proposant la chronique d'un spécialiste. "A condition de ne pas noyer l'internaute dans l'information, il est effectivement intéressant d'aller au-delà du simple 'on vend'", juge Laure Sauvage. Mais selon Charlotte Dereux, il convient tout de même de faire des choix. "La home doit refléter l'activité du site, qui n'est pas éditoriale mais commerciale. S'il relève du pur éditorial, le contenu peut ne venir que dans un deuxième temps." L'ergonome de Benchmark Group le confirme : "Les nouveautés sont importantes pour montrer que le site vit. Les promotions font partie des attentes des internautes, mais il faut décider si l'on veut avoir une image de site de promo ou de site à la pointe de son secteur." En outre, il est fondamental de toujours rester honnête en home par rapport à ce que le visiteur trouvera dans le site. Pas question d'afficher un gros "-70%" si cela ne concerne qu'un produit. Attirer l'œil, oui, mais en respectant certaines règles, donc.
Un petit marchand en ligne n'a pas la notoriété des Amazon, RueDuCommerce et autres Pixmania. Pour compenser, il a donc tout intérêt à mettre en avant les informations concernant sa société. Cela contribuera à rassurer l'internaute sur le fait que derrière le site qu'il visite se trouve bien un professionnel.La publication de ces informations est une obligation légale, imposée notamment par la loi dite justement "pour la confiance dans l'économie numérique". Le site marchand doit afficher notamment le nom de sa société et de son responsable, ses coordonnées et le numéro Siren. Un auto-entrepreneur, dispensé d'inscription au registre du commerce, a tout de même intérêt a apporter le maximum d'informations "institutionnelles".VOIR DOSSIER AUTO-ENTREPRENEUR
Les professionnels mettent surtout l'accent sur le téléphone. "Certaines personnes craignent davantage de donner leur numéro de carte bancaire sur le Web que par téléphone", rappelle Christian Dubois de Montreynaud. A condition toutefois de pouvoir y répondre rapidement. Si ce n'est pas le cas, autant restreindre les horaires de disponibilités et les indiquer. Beaucoup de petits marchands affichent des numéros de téléphones portables. Ce que déconseille le directeur commercial de PowerBoutique. "Avec un fixe, au moins on sait qu'il y a un bureau, des locaux derrière. Si le professionnel se déplace fréquemment, mieux vaut qu'il n'affiche pas son portable mais fasse un transfert d'appel", explique-t-il. Le site marchand doit aussi donner la possibilité d'être contacté par courrier électronique. Et via un formulaire plutôt qu'une simple adresse e-mail. Car le e-commerçant peut ainsi aiguiller les demandes des internautes, en demandant les objets. Cette catégorisation montre au prospect qu'il a à faire à un marchand en ligne expérimenté.
La confiance vient aussi de conditions commerciales claires et non dissimulées. Le CGV (conditions générales de vente) doivent ainsi être bien visibles et peuvent même apparaître dans le panier, pour convaincre les acheteurs qui hésiteraient encore.
"Limiter l'abandon de panier est un enjeu majeur de l'e-commerce. On dépense de l'argent à attirer les internautes. Plus on diminue l'abandon de panier, plus on augmente le taux de transformation et la rentabilité du site. Cela se fait en optimisant le tunnel de transformation". Pour Pierre Trémolières, fondateur et PDG de Delamaison.fr, les e-commerçants sont donc confrontés à deux objectifs contradictoires. Il est important de simplifier le tunnel de transformation pour ne pas impatienter l'acheteur, mais les sites doivent également récupérer des informations précises pour bien le satisfaire.
"Tout au long du processus d'achat, l'internaute doit savoir où il en est", estime Pierre Trémolières. quatre ou cinq étapes maximum. "Et ce qu'on va lui demander lors des étapes suivantes", renchérit Laure Sauvage. Un système d'onglets imbriqués, l'onglet actif étant d'une couleur différente, constitue pour l'ergonome la meilleure solution. "Pour la dernière étape, celle du paiement, l'e-commerçant aura de plus intérêt à ne pas innover et à conserver le service de la banque, désormais connu donc plus rassurant", ajoute-t-elle. "A chaque étape, l'acheteur doit pouvoir revenir en arrière. Internet, c'est la liberté,
La présentation de la page "panier d'achat" - lisible, claire, complète et pas trop chargée - est primordiale. En un mot, ne pas perdre de vue que si les consommateurs achètent en ligne, c'est très souvent pour gagner du temps.
"Les motivations d'achat et de niveau de service sont très variées, analyse son PDG. Proposer toute une palette de services est très important pour qu'aucun internaute n'abandonne son panier faute d'avoir trouvé le mode de livraison qui lui correspond." D'après une récente étude de McAfee, plus de 65 % des internautes qui abandonnent leur processus d'achat en ligne reviennent terminer leur achat dans les jours suivants, la majorité dans les deux jours. Plus largement, un nombre significatif d'internautes utilisent le panier uniquement pour obtenir un devis, sans même avoir l'intention d'acheter.
Nombre de visiteurs de sites marchands abandonnent leurs recherches alors qu'ils avaient bel et bien l'intention d'acheter. Pour lever leurs doutes ou leur fournir l'information qu'ils n'ont peut-être pas eu la patience de chercher, il est possible de mettre en place un certain nombre de solutions destinées à les accompagner et à guider leur démarche. "Dans ce cas, procéder à de la vente croisée marche bien, juge Pierre Trémolières. Lorsque l'internaute met des articles dans le panier 'juste pour voir', il est très intéressant pour le site de lui en suggérer d'autres qui lui conviendront peut-être davantage."
"Envoyer un e-mail de rattrapage est une solution intéressante, qui nécessite toutefois que le prospect ait été identifié", souligne Laure Sauvage. D'autre part, lorsque l'internaute revient sur un site où il a précédemment abandonné un panier, le site peut grâce à un cookie lui présenter un panier encore rempli. Eventuellement, un pop-up l'accueille en lui demandant s'il désire le conserver. "C'est encore plus simple qu'une wishlist à laquelle il faut s'identifier", juge l'ergonome.
D'après l'ergonome de Benchmark Group, de plus en plus d'internautes remarquent lorsque Paypal ne figure pas dans les moyens de paiement proposés par le site marchand. "En effet, il suffit parfois d'avoir entendu parler d'un problème de sécurité de paiement pour ne plus vouloir renseigner son numéro de carte bancaire. Or Paypal rentre maintenant dans les mœurs."
Frein classique de l'achat en ligne : celui du mode de transport. Raison pour laquelle Delamaison.fr a choisi de proposer des modes et des tarifs de livraison très différents, allant du point relais au rendez-vous pris par téléphone avec installation et reprise.
"Nous suivons la loi de Pareto des 80-20 et nous nous focalisons sur les top mots clés qui nous apportent le plus de chiffre d'affaires", explique Ulric Jérome, directeur exécutif de Pixmania. Au total, l'e-commerçant commercialise plus de 1,2 million de références.
Cédric Morelle, patron du cabinet de conseil en référencement et marketing Toucouleurs, estime que la longue traîne génère une partie très importante du chiffre d'affaires des e-commerçants. "Amazon par exemple réalise 70 % de ses ventes sur son fond de catalogue", affirme-t-il.
De façon complémentaire, Pixmania monitore aussi la présence de son nom sur les forums, les réseaux sociaux... "Mais nous le faisons surtout dans une optique de relation client, souligne Ulric Jérome. Les conséquences sur le référencement ne sont pas la priorité de ces actions." Cédric Morelle ne partage toutefois pas cette opinion : "c'est parce que l'on en parle sur les blogs, les forums et les réseaux sociaux que les grands e-marchands comme Rue du Commerce ou La Redoute remontent dans les résultats."
Google détient 80 % de part de marché. "Ce que font le plus souvent les entreprises qui se donnent les moyens de travailler à la fois sur Google, Bing, Yahoo et les autres, c'est optimiser le référencement naturel pour Google et compenser sur les autres moteurs par du référencement payant", souligne Cédric Morelle. Par ailleurs, le consultant prévoit que l'accord passé entre Microsoft et Yahoo aura un fort impact sur les politiques de référencement dans le futur. "Bing va devenir plus intelligent, or Windows 7 propose Bing par défaut. Le marché des moteurs de recherche va encore changer dans les années à venir et avec lui le référencement."
Xavier Debbasch (Airweb) "Un bon référencement passe par un développement multiplate-forme" Avec l'essor des smartphones, disposer d'un site Web ou d'une application pour mobile devient indispensable. Le marketing viral peut revêtir également diverses formes même si la plus connue est certainement la vidéo. On peut en effet opter pour des bannières publicitaires, un jeu ou encore un mini-site événementiel.
Moins chère qu'un spot télévisé, une publicité vidéo pour Internet offre parfois des performances supérieures grâce à sa capacité d'interaction avec l'internaute. Choix de la durée, constitution du pack shot, adaptation suivant les supports et les pays... Voici les conseils à suivre pour réaliser une publicité vidéo réussie.
Les candidats à la création d'entreprise sont légion en France. Mais c'est parfois le manque de moyens qui bloque l'aventure. Le JDN Economie s'est donc penché sur ces entreprises qui réclament un faible investissement de départ. De la livraison d'apéritifs au nettoyage de voitures sans eau en passant par le dépannage informatique, voici quinze concepts d'entreprises qui peuvent démarrer avec moins de 10.000 euros.
La livraison d'apéritifs, peu coûteuse et originale
Le diagnostic immobilier profite de la législation
Les chasseurs immobiliers, un créneau encore peu investi
Le nettoyage automobile sans eau répond à un double besoin
La livraison d'aliments pour animaux, un service méconnu
Le sevrage tabagique correspond à l'époque
Le dépannage informatique, une clientèle en développement
Trouver des financements pour les entreprises : utile et peu exploité
Favoriser les rencontres amoureuses, répondre à un mal du temps
Le toilettage pour chiens répond à une forte demande
La communication, une faiblesse des petites entreprises
Les services à la personne ont le vent en poupe
L'aide aux personnes âgées profite du papy boom
Les pâtes à emporter de plus en plus appréciées
Le stylisme ongulaire à domicile, plus fort que la manucure
La Mairie de Paris recherche des locaux pour WorkCamp, j'espère que cette étape sera décisive et pas trop longue pour notre projet de coworking, entrepreneurial, social et environnemental.
A cette occasion, je vous invite à continuer de réserver un espace sur www.workcamp.fr afin que votre demande soit concrètement prise en compte le Jour J.
Pourquoi travailler tout seul ou presque quand on pourrait partager une machine à café et les conversations qui vont avec ? Après la colocation d'appartement, la colocation de bureaux se développe, elle aussi.
Marion Aquino est consultante en gestion et organisation. Elle conseille les entreprises sur les meilleurs moyens d'optimisation des coûts et a posté une annonce sur le site. Pour Marion, c'est aussi l'occasion de ne pas rester « seule dans son coin », de pouvoir être soutenue et de partager les savoirs faire.
« C'est idéal car cela permet de partager les frais de lignes téléphonique, d'une secrétaire, d'un agent d'entretien ou d'acheter du matériel en commun. Au niveau intellectuel, cela permet de briser l'isolement du chef d'entreprise. Nous pouvons échanger au niveau business si nos activités sont complémentaires, affronter les coup durs à plusieurs. »
Dominique fait partie de « ces quinquagénaires qui se sont fait virer et qui tentent de retrouver du travail ». Elle vient de créer sa société de conseil et cherche aussi à partager un bureau sur Paris.
« Au delà des raisons financières évidentes, c'est pour des raisons de société que je cherche à partager un bureau. Quand on a travaillé comme moi dans des grands groupes, on a besoin de ne pas se retrouver seul. En plus, à la maison, mon mari en avait marre de pousser des dossiers pour pouvoir prendre son café. »
Caroline est journaliste pigiste, elle a partagé deux colocations de bureaux à Paris avec d'autres pigistes.
« Il y a ceux qui partagent les locaux c'est tout, et ceux qui veulent vraiment former un sorte de communauté avec des blogs, des piges communes, des pots pour se faire connaître. »
Stephanie Booth est à l'origine de la création d'un espace de coworking à Lausanne, en Suisse. Elle a créé un groupe Facebook consacré à cette espace : Coworking Switzerland et partage les difficultés rencontrées lors de la recherche du lieu sur son blog.
Ouvert depuis six mois, l'espace rassemble des Consultants divers, des créateurs
de jeux vidéos, des architectes ou des graphistes. Il y a eu des « petits hics » de temps en temps mais comme toute vie en collectivité, rappelle Stéphanie.
Le Founder Institute, une école de start-up née dans la Silicon
Valley, vient d'ouvrir ses portes à Paris. Avec l'ambition de former,
en 2010, une centaine d'entrepreneurs high-tech dans l'Hexagone.
Quatre mois pour mettre une start-up sur les rails : tel est l'objectif du Founder Institute, une école de formation pour entrepreneurs dans les hautes technologies, fondée en Californie. Ce stage intensif, qui se tiendra de mars à juin 2010, propose en 12 sessions du soir une sorte de « parcours du créateur d'entreprise ». « Il ne s'agit pas de refaire des cours de marketing, de compatibilité et de droit pour les entreprises, explique Alain Baritault, l'un des deux formateurs, installé depuis plus de vingt ans dans la Silicon Valley. La formation est délivrée par des “ Mentors ”, des entrepreneurs expérimentés qui ont déjà réussi leur parcours en France et aux Etats-Unis. » L'originalité de cette formation est donc de laisser la part belle aux retours d'expérience. Lors de chaque session, centrée sur un thème critique de la création d'entreprise, trois entrepreneurs viendront témoigner. Les candidats apprendront concrètement à lancer leur société high-tech : du choix du projet jusqu'à la manière de négocier avec les investisseurs, en passant par l'embauche des personnes indispensables, les questions de propriété intellectuelle ou la recherche de partenaires. Ils seront aussi placés sur le devant de la scène pour convaincre les intervenants et leurs pairs.
Développer son réseau
Autre particularité, le Founder Institute promet de ne pas lâcher ses élèves dans la nature après le stage et de les accompagner, notamment en leur faisant bénéficier d'un réseau d'anciens entrepreneurs et d'investisseurs. Baptisé thefunded, ce réseau a été créé par Adeo Ressi, le fondateur du Founder Institute. « Il s'agit d'une référence très connue dans le milieu des investisseurs, assure Alain Baritaut. Après, c'est à eux d'exploiter judicieusement ce réseau. Nous restons à leur disposition pour les assister et les informer, mais ils doivent se prendre en main. » D'ailleurs, le Networking tel qu'on le pratique dans la Silicon Valley est au programme de la formation. Les participants commencent déjà à doper leur carnet d'adresses.
Les candidats (une cinquantaine seront sélectionnés sur entretien) peuvent s'inscrire jusqu'au 15 février 2010. Il leur en coûtera 600 euros. En Europe, Paris a ouvert le bal, mais le programme fonctionne déjà à Singapour en Asie et dans cinq villes américaines (San Francisco, San Diego, Seattle, Washington, et New York). Il sera également délivré à Los Angeles et à Denver.
Malheureusement, nous n'avons pas trouver un local correspondant au projet pour Février. WorkCamp reste alors sur son calendrier initiale : ouvrir pour le printemps 2010 (avril/mai).
Mais son ouverture risque d'être spectaculaire grâce à des partenaires qui se précisent... Je vous en parlerais officiellement dès que son aboutissement sera signé, et mettrais ainsi en première page du site web www.workcamp.fr le nouveau prestataire de ce green coworking.
Continuer à m'écrire et à un réserver un espace, grâce aux formulaires de contact à votre disposition sur le site web www.workcamp.fr
On envisage une vraie pendaison de crémaillère le jour J qui sera l'occasion d'échanger tous ensemble et de faire tourner les cartes d'affaires. Il y aura évidemment d'autres activités comme les barcamps, les business camps, les workshops et les educamps... n'hésitez pas à en apprendre d'avantage sur le site web www.workcamp.fr
Qu’est-ce qu’un BarCamp ? « C’une rencontre, une non-conférence ouverte qui prend la forme d’ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp. C’est le principe pas de spectateurs, tous participants. L’événement met l’accent sur les toutes dernières innovations en matière d’applications Internet, de logiciels libres, de réseaux sociaux, etc. sans thème exclusif.»
Qu’est qu’un BusinessCamp ? C’est un rendez-vous mensuel, normalement prévu tous les premiers mercredis du mois, où nous nous occupons uniquement de business networking, en français réseautage d’affaires. On vient avec un maximum de cartes d’affaires et on les échange avec les autres participants, selon les affinités et les secteurs d’activités. Libre à vous ainsi, de vous constituer un réseau d’affaire simple, concret et efficace !
Qu’est ce qu’un WorkShop ? Cet atelier qui symbolise à la fois une rencontre et une session d’entraînement entre plusieurs participants allie savant mélange entre cours magistral et travaux pratiques. Le WorkShop est alors censé favoriser les échanges et ouvrir la discussion et de pouvoir vulgariser rapidement certaines notions techniques… Au programme : agir, apprendre, partager et changer…
Qu’est ce qu’un EduCamp ? C’est une dizaine de conférences d’une semaine sur un même thème qui ont lieu pendant l’été. Quatre summer schools sont ainsi prévus pendant les mois de juin et juillet. Exemple de thèmes : développement durable, économie numérique, réseaux sociaux, auto-entrepreneuriat, e-commerce, gestion de projet, web 2.0, portage, marketing et PME, etc.
La Fédération des Auto-Entrepreneurs poursuit sa mission d’aide, de conseil et d’accompagnement des auto-entrepreneurs et étend sa démarche en se positionnant une nouvelle fois sur le terrain. Pour lancer cette nouvelle année, la Fédération vous retrouvera au Salon des Entrepreneurs de Paris, les 3 et 4 Février prochains (stand 141).
C’est entourée de trois partenaires principaux que la Fédération ira au contact des 70000 entrepreneurs et auto-entrepreneurs attendus lors de cet événement majeur de début d’année.
Bonjour à tous,
Nous sommes actuellement 10-12 coworkers,
toujours en recherche d'un bureau ou local, à Paris,
si vous avez vent ou si vous même possédez d'un espace disponible,
de plus de 150m2, sans frais d'honoraires,
n'hésitez pas à me contacter [email protected]
Au plaisir...
WorkCamp est membre de l'association qui allie reseau et think-tank de l'economie verte, Entreprendre Vert, pour échanger des idées, partager des expériences et développer son réseau.
"Elle permet de reflechir a l'economie verte et au developpement durable a travers l'entreprise. Cela couvre de nombreux themes : eco-conditionnalite des marches publics, bonnes pratiques environnementales et sociales au sein des entreprises, eclosion d'une economie Verte et ses modes de financement et de soutien, nouveaux modeles economiques autour du developpement durable... Nous publions des communiques et position papers sur l�economie verte et sa regulation.
Reseau. Entreprendre Vert rassemble entrepreneurs, entreprises et acteurs de l'economie verte. Ceux qui s'engagent dans une demarche de developpement durable, quel que soit leur coeur de metier. Nous organisons regulierement reunions, aperos thematiques, et differents evenements (visites d'entreprise, soirees recital,...). Nos reunions s'organisent autour de themes pousses avec un public expert, qui permettent de creer des rencontres autour du developpement durable. Enfin, nous sommes a la jonction entre decideurs publics et prives.
Entreprendre Vert construit un reseau europeen, Ecopreneur, avec ses associations soeurs : Unternehmens Grun en Allemagne, Grune Wirtschaft en Autriche, Grune Unternehmer (Suisse).
Tout cela permet de promouvoir l'economie verte. De valoriser les initiatives et innovations de nos membres. D'offrir un espace de dialogue, d'idees et d'innovation !"
Depuis le 1er janvier dernier, les Communautés d’Agglomération Arc de
Seine et Val de Seine, regroupant les villes de Boulogne-Billancourt,
Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, Vanves et Ville d’Avray,
ont fusionné pour créer « Grand Paris Seine Ouest », l’une des plus
grandes Communautés d’Agglomération de France. Avec ses 300 417
habitants, 20 000 entreprises et 160 000 emplois, Grand Paris Seine
Ouest apparaît déjà comme un pôle économique majeur.
Une puissance économique d’envergure
Grand
Paris Seine Ouest devient l’un des principaux pôles économiques
d’Europe, se situant au niveau du quartier d’affaires de la Défense
(160 000 emplois et 2,5 millions de m2 de bureaux pour Grand Paris
Seine Ouest, 150 000 emplois et 3 millions de m2 de bureaux à la
Défense), dans un cadre verdoyant (le territoire de la nouvelle
agglomération est composé de 36% de forêts et d’espaces verts) et
particulièrement bien desservi par les transports en commun (30 gares
et stations de train, de métro et de tramway). 20 000 sociétés sont
réparties dans tous les secteurs d’activités, avec une forte présence
des secteurs de la communication et du High Tech. Avec environ 70%
d’entreprises de moins de 10 salariés, la nouvelle Communauté
d’Agglomération constitue un espace économique exceptionnel fondé sur
l’esprit d’entreprendre.
Deux secteurs phares : les médias et la communication
Grand
Paris Seine Ouest est au coeur du paysage audiovisuel français : TF1,
France 3 Île-de-France, Canal+, France 5, Arte, Eurosport, France 24,
BFM, Gulli... sont installés sur le territoire, aux côtés de groupes
comme Marie Claire, Young and Rubicam ou TBWA. Les fleurons des
Technologies de l’Information et de la Communication s’y distinguent :
Microsoft, France Telecom R&D, HP, Cisco Sytems, Bouygues Telecom,
Intel, Gemalto, SFR. Une identité forte, que Grand Paris Seine Ouest
entend conforter afin de renforcer son image de pôle innovant et
performant en France. Renault, Colas, Rhodia, TF1, Vallourec, SFR,
Grâce à une communauté d'environ 8-10 coworkers, une possibilité d'ouverture avancée pour le 1e février est à l'ordre du jour (Paris ou Issy, 120-150m2). TheOffice recherche d'autres coworkers sédentaires prêt à nous rejoindre à cette date afin de baisser ses tarifs et de louer un local commercial/bureau plus grand (Paris ou Issy, 200-250m2).Vous avez jusqu'au 18-20 janvier pour vous inscrire svp en m'écrivant [email protected]
Voici les tarifs en question envisagés dès que nous serons 15 membres, puisque TheOffice opte logiquement pour le statut d'association de loi 1901, bureau ouvert de 9h à 19h, du lundi au vendredi (50h/semaine) et possibilité de venir les week-end et jours fériés, dépôt de garantie et préavis de deux mois seulement.
100% nomade
Membership1 | 60€ (6mois) ou 100€ (1 an) | membres de la mailing list, liens dans l'annuaire du site web, accès gratuit aux événements (au lieu de 7-15€ par événement) et possibilité de venir et de louer la salle de conférence. = Venir à l'improviste | 10€ la demi-journée ou 15€ la journée... Salle de conférence | 100€ la demi-journée ou 150€ la journée...
80% nomade et 20% sédentaire
Membership2 | 250€/mois pour 1 an (300€/mois les 6 premiers mois) | Inscription à 10h/semaine d'utilisation, espace de stockage, membership, salle de conférence (1à2h/semaine)...
40% nomade et 60% sédentaire
Membership3 | 300€/mois pour 1 an (350€/mois les 6 premiers mois) | Inscription à 20h/semaine d'utilisation, espace de stockage, boite aux lettres, standardiste, membership, salle de conférence (2à4h/semaine), domiciliation juridique (1an)...
100% sédentaire
Membership4 | 350€/mois pour 1 an (400€/mois les 6 premiers mois) | Utilisation illimitée de votre espace personnel, espace de stockage, boite aux lettres, standardiste, membership, salle de conférence (4à8h/semaine), domiciliation juridique (1an)...
Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a
lancé la 12e édition du Concours national d’aide à la création
d’entreprises de technologies innovantes, en partenariat avec OSEO.
La vocation de ce concours est de détecter, faire émerger des projets de création d’entreprises de technologies innovantes et soutenir les meilleurs d’entre eux grâce à une aide financière et un accompagnement adapté.
Mis en place en 1999, ce Concours est devenu au fil du temps un élément majeur du dispositif de soutien mis en place par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche pour aider les créateurs de projets de technologies innovantes.
OSEO en est le maître d'oeuvre sur le terrain aux côtés des Délégations régionales à la recherche et à la technologie (DRRT). Elle gère et cofinance ce concours.
Qui peut concourir ?
• Tous les porteurs de projets quels que soient leur nationalité, leur statut ou leur situation professionnelle
•
Les dirigeants d’entreprises de technologies innovantes créées depuis
le 2 janvier 2009 (uniquement en catégorie "création-développement").
Pour quel projet ? et pour gagner quoi ?
Les projets peuvent être présentés en 2 catégories :
➜ les projets « en émergence », qui nécessitent encore une phase de maturation et de validation technique, économique et juridique.
➜ les projets « création-développement », sont des projets dont la preuve du concept est déjà établie et qui ont ou vont donner lieu à une création d’entreprise à court terme.
Quand s'inscrire ?
➜ à partir du 1er décembre 2009,
les dossiers de participation sont disponibles sur les sites internet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr et d’OSEO : www.oseo.fr ainsi qu’auprès des délégations régionales à la recherche et à la technologie (DRRT) et des directions régionales d’OSEO.
➜ jusqu'au 28 janvier 2010,
les dossiers de participation (en cinq exemplaires) devront être adressés,
Notre green coworking office en développement se construit également un site web "classique" tout en gardant ce blog qui fait part des news attendues avec ses tweets. A cette occasion, je tiens à vous informer de la mission de Coffee WebDesign : regrouper une communautés de freelances créatifs franciliens triés sur le volet afin de proposer aux clients une gestion de projet complète.
Vous continuez de travailler comme vous en avez l'habitude, votre grille de tarification ne change pas. En revanche, vous passez le projet, lorsque vous en avez terminé, au prochain collaborateur. Exemple : l'infographiste passe son travail à l'imprimeur, le chef de projet au webdesigner ou au webmarketer, etc. et ainsi de suite, jusqu'à l'aboutissement de tout le projet complet du client. L'avantage pour lui est de ne pas rechercher plusieurs freelances pour un même projet: gain de temps et de facturation. Ainsi, Coffee WebDesign regroupe les factures des freelances sur une seule qu'il remet aux clients sous un même interlocuteur, votre publicité et liberté en prime. Notre communauté de freelances s'entraident, travaillent ensemble et multiplient également les contrats... Pour nous rejoindre, il suffit d'envoyer un e-mail à [email protected]
The Office avec le Réseau Créa souhaitent également ouvrir un coworking sur Lyon afin de servir les entrepreneurs tout azimuts rhone-alpins. Pour anecdote, Paris-La Défense est le premier centre d'affaire Français et Lyon Part-Dieu le deuxième. Le projet avec "CréaLoft" de Thomas Standhaft réside dans sa valeur ajoutée : le fruit de talents aux esprits indépendants et mobiles sans contrainte en terme de lieu de travail et sachant gérer leurs emplois du temps. L'ambiance fera davantage penser à une salle d'étude ouverte 24/7 où des talents mobiles et indépendants se rejoignent ou se côtoient pour faire vivre leurs idées et avancer dans l’aboutissement de leur projet. Ce sera donc un espace de travail collaboratif de coproduction et de dynamiques collectives ouvert aux travailleurs indépendants, porteurs de projets et entrepreneurs.. Bien évidemment, nous pourrions alors donner la possibilité aux coworkers de Paris et de Lyon d'échanger via télé-conférence, se rencontrer et d'aller à leur guise dans les deux bureaux.
CoffeWebDesign nous offre un logo de bonne année pour 2010. Enjoy :-)
Travailler autrement : les Sans Bureau Fixe sont des personnes qui n'ont pas de bureau à proprement parlé, avec une pointeuse et le patron qui surveille. Ils travaillent de chez eux, de chez leurs clients, dans les transports, les cafés, les bibliothèques...
Au résultat : la possibilité de donner plus de place à la vie de famille, une meilleure réactivité pour le client et la possibilité d'adapter le rythme de travail comme l'on veut, sans stress.
TheOffice, green coworking, leurs permettra de disposer d'un espace de travail partagé, lorsqu'ils le souhaitent, de partager des idées, des relations d'affaires avec d'autres travailleurs individuels, mais aussi d'une salle de réunion pour des réunions ou des présentations clients, d'une adresse qui n'est pas celle du domicile si besoin.
En parallèle, l'aide SBF passe par l'accompagnement à la création d'entreprise car les auto entrepreneurs et TPE sont souvent des SBF, et par des conseils pour organiser son travail et développer son activité.
TheOffice est désormais partenaire de la communauté des animateurs/influenceurs web ou Community Managers, par le biais et avec Luc Legay. Un métier émergeant pour lequel il n'existe pas encore de traduction française communément admise, qui a pour mission d'animer les échanges entre internautes utilisant un service web commun et de faire respecter les règles de bonne conduite au sein de la communauté. Vous souhaitez en savoir plus sur les tentatives d'intelligence collective, visitez le très populaire site de Luc. A cet occasion, je vous invite à notre premier barcamp à Paris en janvier 2010, qui permettra de vous exposer notre projet et vous inviter à en faire partie, de mettre en place un premier networking, etc. Pour cela, inscrivez gratuitement sur http://barcamp.org/CommunityCampParis. Venez nombreux. Au plaisir de vous y rencontrer!
Logo réalisé une fois encore par CoffeeWebDesign. Joyeuses fêtes de fin d'année à tous et à toutes, en espérant vous voir rejoindre notre projet de coworking vert pour une ouverture rapide l'an prochain. A bientôt.
Objectif : un green coworking, comprendre un espace de travail partagé eco-friendly, à Paris en 2010. The Green Coworking Office, abrégé TheOffice est fondé sur ces différents mots-clés :
Entrepreneuriat et Économie (entrepreneurs, créateurs d'entreprises, auto-entrepreneurs, travailleurs individuels, travailleurs autonomes, consultants, freelances...) :
« L’entrepreneuriat : c’est le processus par lequel des personnes prennent conscience que le fait de posséder leur propre entreprise constitue une option ou une solution viable, ces personnes pensent à des entreprises qu’elles pourraient créer, prennent connaissance de la marche à suivre pour devenir un entrepreneur et se lancent dans la création et le démarrage d’une entreprise » Louis Jacques FILION (1988 et 1991). Les déclencheurs de l’entrepreneuriat peuvent être : la formation appropriée, l’expérience suffisante, la disponibilité de fonds, le soutien familial, un parcours professionnel acquis, la découverte d’un partenaire d’affaires, les frustrations ou insatisfactions au travail : emploi monotone, salaire non satisfait, l’impossibilité de faire valoir ses idées, la perte d’emploi, etc… Malgré la crise, le coworking permet de disposer d'un bureau à moindre coût et d'être entouré. Un programme d'incubateurs pour les jeunes entrepreneurs ou néo-entrepreneurs plus largement peut également être mis en place rapidement.
Communauté et Communication (networking, échanges réciproques de savoirs, réseautage d'affaires, mise en relation professionnel) :
Permet à ses utilisateurs de catalyser son réseau de contact professionnel mais aussi de multiplier et diversifier ses opportunités de business. Il s'agit, là, d'une démarche de formation réciproque, en réseaux ouverts et sans aucune comptabilité, ni liée aux savoirs, ni liée au temps. Créant ainsi des possibilités d'échanges ou de dons entre des professionnels. Beaucoup d'entrepreneurs ont un même état d'esprit et considèrent que le réseau d'affaires est une méthode plus efficace que les efforts dépensés en publicité ou en relations publiques. En effet, cette activité est peu onéreuse et repose davantage sur un engagement personnel que sur l'argent détenu par une entreprise. À titre d'illustration, un réseau d'affaires peut se rencontrer de façon hebdomadaire ou mensuelle dans le but d'échanger des besoins et se donner des références. Parallèlement à cette activité, les membres rencontrent souvent d'autres membres en tête à tête pour construire des relations personnelles en dehors du cercle. Et le réseautage d'affaires moderne mixte désormais le réel et le virtuel. Au programme des conférences, cours, jelly, barcamps, networking days, ateliers, etc.
Numérique et NTIC (Nouvelles technologies de l'Information et de la Communication) :
Ces quatre lettres sont les premières de quatre mots devenus fort importants dans notre monde actuel. Qu'est-ce qu'il y a derrière ces mots «techniques», c'est le cas de le dire? Il y a l'avènement formidable d'une nouvelle manière de communiquer entre nous qui est en train de révolutionner notre monde, rien de moins, c'est le téléphone, le fax, les ordinateurs, le wifi ou internet sans fil, la fibre optique, les télé-conférences, la projection de présentation powerpoint sans oublier la plus spectaculaire illustration de cette révolution Internet.Outils aujourd'hui indispensable dans un bureau.
Environnement ou plus justement Environmentally friendly (eco-friendly, nature friendly, green) :
Utiliser le moins de produits possibles pour limiter son empreinte ou plus précisément l'impact de l'homme (as consumer) sur l'environnement, au bureau puisque nous y passons finalement la majeure partie de notre vie, et que cela est tout à fait possible, selon le modèle des 3R "Reuse, Reduce, Recycle" (waste hierarchy), traduction "Réduire, Réutiliser, Recycler". Plus de détails dans l'article 'les bons gestes écologiques à faire au bureau' affichés plus bas.
Que vous souhaitiez exploiter une compétence ou mettre à profit une passion, que vous soyez en poste, retraité ou sans emploi, le statut d'auto-entrepreneur vous offre la possibilité de lancer votre propre activité, en minimisant risques et formalités.
La rédaction du Journal du Net où vous pouvez consulter l'article en entier en détail, a sélectionné 15 activités dans lesquelles se lancer lorsqu'on a du temps à disposition, des connaissances spécifiques, un carnet d'adresses fourni ou simplement la ferme intention de se mettre à son compte.
Ecrivain pour l'administration
Conseiller les entreprises
Converser en langue étrangère
Organiser des événements familiaux
Ouvrir une chambre d'hôtes
Rechercher des sponsors
Coacher la vie quotidienne
Créer la e-réputation d'entreprises
Représenter des professionnels
Apporter des affaires
Se déplacer pour les autres
Traduire des documents professionnels
Enquêter sur la généalogie
Faire du négoce de vins et spiritueux
Saisir et rédiger des documents
A vous de jouer !
Ca y est, c'est décidé : vous vous lancez comme consultant indépendant. Vous êtes sûr de votre expertise mais elle ne fait pas toute la qualité du bon consultant. Avez-vous pensé à tout ?
De
nombreux pièges guettent le consultant indépendant au tournant.
Relâcher ses efforts dès les premières missions décrochées, proposer
des tarifs trop bas, négliger de se couvrir contre les dommages, offrir
des prestations trop variées, espérer gagner sa vie dès les premiers
mois, s'isoler... Autant d'erreurs fréquentes que l'on peut pourtant
éviter. Découvrez 15 pièges des plus courants et les réflexes à développer pour y échapper. Voir l'article entier en détail sur le Journal du Net.
Piège n°1 : se laisser déborder par le temps en mission
Piège n°2 : mal évaluer ses tarifs
Piège n°3 : arrêter de prospecter une fois en mission
Piège n°4 : viser une offre commerciale trop large
Piège n°5 : sous-estimer l'effet réseau
Piège n°6 : accepter des objectifs irréalistes
Piège n°7 : oublier de s'assurer
Piège n°8 : débuter sans réserves financières
Piège n°9 : se lancer sans tester son idée
Piège n°10 : se renfermer sur soi
Piège n°11 : se croire un commercial hors pair
Piège n°12 : commencer une mission sans objectif clair
Piège n°13 : bâcler ses comptes-rendus
Piège n°14 : négliger la gestion de son entreprise
Piège n°15 : sous-estimer l'impact sur son entourage
L'ouvrage de Pierre-Michel do Marcolino : "Les meilleures pratiques du consultant", aux Editions d'Organisation peut également vous aider.
Devenir consultant indépendant : Valoriser son expertise en étant à son compte, c'est tout l'attrait du métier de consultant indépendant. Mais entre la définition de son offre, la prospection, les aspects juridiques et fiscaux, les débuts sont souvent difficiles. Conseils et témoignages.
Tout savoir sur le statut d'auto-entrepreneur : Chômeurs,salariés, étudiants, fonctionnaires, retraités : tous peuvent tenter legrand saut de la création d'entreprise en optant pour ce statut.
Se mettre à son compte, quelle structure choisir : Compléter ses revenus, être seul maître à bord, tester une idée ou changer le monde... Selon ses objectifs, la création d'entreprise va prendre des formes très différentes. Trouvez celle qui vous conviendra le mieux.
La région Ile-de-France est la plus dynamique en termes de création d'entreprise. Au-delà du site régional Creersaboite.fr qui mutualise l'information, la région s'appuie sur programme prenant en compte l'ensemble du parcours de la création. Les aides financières sont également très incitatives.
Primes pour la création :
Prime au démarrage : 1 500 € à 4 000 € (en fonction des priorités régionales). Prime de croissance de 1 500 € versée au bout de la première année d'existence (portée à 3 000 € en fonction des priorités régionales). Bourse de 400 € par mois pour les porteurs de accompagnés par l'Ecole régionale de projets.
Aide à l'embauche :
1 500 € dès le 1er emploi salarié (portée à 3 000 € en fonction des priorités régionales).
Un nouveau dispositif d’aide à la création d’entreprise a été présenté par le secrétaire d’Etat à l’Emploi. Dénommé Nacre (Nouveau dispositif d’accompagnement pour la création et la reprise d’entreprise), il sera effectif à partir du 1er janvier 2009. Il a l’objectif ambitieux de multiplier par trois le nombre de chômeurs créant leur entreprise et surtout d’aider à rendre pérennes les entreprises nouvellement créées.
Un nouveau dispositif d’aide à la création d’entreprise a été présenté par le secrétaire d’Etat à l’Emploi, Laurent Wauquiez, le 20 Novembre 2008. Dénommé Nacre (Nouveau dispositif d’accompagnement pour la création et la reprise d’entreprise), il sera effectif à partir du 1er janvier 2009. Il a l’objectif ambitieux de multiplier par trois le nombre de chômeurs créant leur entreprise et surtout d’aider à rendre pérennes les entreprises nouvellement créées. Car jusqu’à aujourd’hui, seules 7.000 personnes étaient accompagnées chaque année dans leur création. Le dispositif doit également aider à faire passer de 36 % à 20 % le nombre de défaillances des entreprises créées à trois ans.
Elaboré en partenariat avec la Caisse des Dépôts et Consignations, Nacre va remplacer deux types d’aide à la création d’entreprise. D’abord, l’Eden (Encouragement au développement d’entreprises nouvelles), avance remboursable de maximum 6098 euros à taux zéro. Ensuite, le chèque conseil permettant de consulter un spécialiste de la création d’entreprise pour 15,24 euros la consultation de l’heure.
A partir du 1er janvier, les futurs créateurs d'entreprise pourront
bénéficier d'un prêt d'honneur à taux zéro baptisé « Autonomie »,
couplé à une garantie publique des prêts bancaires et à un
accompagnement obligatoire durant les trois premières années par des
structures labellisées.
Le public visé reste le même, c’est-à-dire
le public des ayants droits à l’Accre (Aide à la création et à la
reprise d’une entreprise : demandeurs d’emploi indemnisés ou non
(inscrits dans ce cas depuis 6 mois au moins), les bénéficiaires des
minimums sociaux, les jeunes de moins de 26 ans (ou de moins de 30 ans
pour les chômeurs non indemnisés et ceux reconnus handicapés), les
salariés qui reprennent leur entreprise en redressement ou liquidation
judiciaire, les titulaires d’un Contrat d’appui au projet d’entreprise
(Cape, conclu notamment avec des couveuses d’entrepreneurs à l’essai et
parfois des coopératives d’activités et d’emploi), ainsi que les
personnes qui créent leur entreprise en zone urbaine sensible (ZUS).
Nacre se caractérise par un dispositif d’accompagnement renforcé
avec un interlocuteur unique. Il se décompose en trois phases :
Une première phase ante création. Un
accompagnement sous la forme de séances individuelles et collectives
sera proposé par des cabinets et réseaux de conseil en création
d‘entreprise labellisés par l’Etat. Ils auront pour mission de faire
avancer le créateur depuis son projet bien identifié jusqu’à la
réalisation de son business plan. Cette phase s’adresse aux créateurs
ayant déjà une idée précise du projet d’entreprise. Elle n’inclut donc
pas d’aide à l’émergence du projet. Cet accompagnement se fera sur 8 ou
10 séances et 4 mois maximum.
Une deuxième phase de financement.
Il s’agira d’aider le créateur à obtenir un prêt d’honneur à taux zéro
(ancien dispositif Eden) sur la base d’un prêt moyen de 5 000 euros
(mais le montant pourra varier entre 1000 et 10.000 euros). La Caisse
des Dépôts interviendra sous forme de fonds propres associatifs dans
les réseaux d'accompagnement. Ceux-ci renforceront le nombre et le
montant des prêts d’honneur accordés aux créateurs, prêts
systématiquement couplés avec un prêt bancaire et une garantie
publique. Le créateur passera donc quelques séances pour finaliser son
business plan, apprendre à le présenter et défendre son dossier devant
les organismes financier.
Une troisième phase post création.
Un accompagnement sur trois ans sera proposé au jeune chef d’entreprise
pour l’aider à mettre toutes les chances de son côté pour viabiliser,
rentabiliser et pérenniser son entreprise. Un parcours personnalisé,
des ateliers et des séances de conseil lui seront proposés durant les
trois premières années de l’activité. Le but étant également de
s’assurer de la solvabilité du créateur et de sa capacité à rembourser
l’emprunt. Pour ce faire, les accompagnateurs auront des objectifs de
résultats et disposeront de mesures d’évaluation précises.
Grâce à ce nouveau dispositif, le nombre de bénéficiaires, à terme, est estimé à 20.000 par an. Les créateurs accèderont également avec plus de sécurité à un financement bancaire et, surtout, pourront acquérir les réflexes indispensables de gestion et de développement commercial.
(Décembre 2008)
Valérie Weill
Directrice de la société CREATEUO
www.accompagnement-createurs-entreprise.fr
Une très belle série de publicité macintosh, sans vouloir prendre partie pour la marque.
version courte : version longue :* Qu'est-ce que le statut d'auto-entrepreneur ?
C'est un statut spécifique mis en place depuis le 1er janvier 2009 pour les entreprises individuelles artisanales, commerciales ou libérales qui relèvent du régime fiscal de la micro-entreprise. Il offre des formalités de création d'entreprises allégées ainsi qu'un mode de calcul et de paiement simplifié des cotisations et contributions sociales et de l'impôt sur le revenu.
Pour information, le régime fiscal de la micro entreprise est caractérisé par : - une franchise en base de TVA : les entreprises ne facturent pas la TVA et ne la récupèrent pas. (Lors de la facturation, l'entreprise doit préciser sur la facture " TVA non applicable, article 293 B du CGI ".) - un abattement forfaitaire lors du calcul du résultat de l'entreprise. (Le taux d'abattement est de 71 % pour les entreprises exerçant une activité d'achat-revente ou de fourniture de logement, de 50 % pour les prestations de service commercial et de 34% pour les prestations de service non commercial) - des obligations comptables et déclaratives simplifiées. - pas de déficit possible, l'exploitant individuel ne peut pas l'imputer sur son revenu global.
* Quelles sont les conditions pour créer une entreprise en auto-entrepreneur ?
Vous devez créer une entreprise individuelle et opter pour le régime fiscal de la micro entreprise.
Pour bénéficier du régime fiscal de la micro entreprise, votre chiffre d'affaires ne doit pas dépasser un certain seuil.
En 2009, pour une année civile complète :
- 80 000 € pour une activité de vente de marchandises, d'objets, de fournitures, de denrées à emporter ou à consommer sur place ou une activité de fourniture de logement,
- 32 000 € les prestations de services relevant de la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) ou des bénéfices non commerciaux (BNC).
Ces seuils sont proratisés en cas de début d'activité en cours d'année
Et vous devez être en franchise de TVA (pas de facturation ni de récupération de TVA).
* Quels sont les avantages du statut d'auto-entrepreneur ?
L'auto-entrepreneur bénéficie :
- d'une dispense d'immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers lors de la création de son entreprise (pour ceux qui le souhaitent l'immatriculation demeure possible),
- du régime micro social simplifié. C'est une modalité de règlement simplifié des cotisations et contributions sociales qui consiste en un paiement mensuel ou trimestriel dont le montant est calculé en appliquant un taux forfaitaire au chiffre d'affaires réalisé. Attention, les cotisations sociales sont déterminées à titre définitif et ne feront pas l'objet d'une régularisation, même si le montant des cotisations calculées selon le droit commun est inférieur.
- d'une option pour le versement libératoire de l'impôt sur le revenu à condition que le revenu global du foyer fiscal ne dépasse pas en 2007 25 195 € par part de quotient familial. Le versement libératoire de l'impôt sur le revenu est calculé en appliquant un taux unique sur le chiffre d'affaires. Il est payé en même temps que les cotisations sociales.
- d'une exonération de la taxe professionnelle en cas d'option pour le versement libératoire de l'impôt sur le revenu durant les deux ans qui suivent l'année de début d'activité.
* Je suis actuellement salarié(e). Puis-je bénéficier du statut d'auto-entrepreneur ?
Oui, le cumul avec une activité salariée (y compris au sein de la fonction publique) est possible. Vous êtes toutefois tenu à une obligation de loyauté à l'égard de votre employeur. Votre contrat de travail peut aussi prévoir des interdictions d'exercer certaines activités. Il faut donc vérifier attentivement les clauses de votre contrat de travail si vous êtes salarié, et que vous souhaitez exercer une activité indépendante supplémentaire.
* Pendant combien de temps est-ce que je pourrai bénéficier du statut d'auto-entrepreneur?
Ce statut s'applique tant que vous relevez du régime fiscal de la micro entreprise. Vous pouvez cependant tout à fait décider d'y renoncer. En ce cas, il vous faudra dénoncer votre option pour le régime micro social simplifié jusqu'au 31 décembre pour que votre renonciation prenne effet au 1er janvier qui suit. Vous serez alors tenu, selon votre activité, de vous immatriculer au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers.
* Quelles sont les démarches à effectuer pour bénéficier du statut d'auto-entrepreneur ?
Créateur Vous devez remplir un imprimé unique et simplifié de déclaration propre aux auto-entrepreneurs sur le site www.lautoentrepreneur.fr ou auprès du Centre de Formalités des Entreprises compétent. Travailleur indépendant déjà en activité - Si vous changez d'activité : Vous devez remplir un imprimé unique et simplifié de déclaration propre aux auto-entrepreneurs sur le site www.lautoentrepreneur.fr ou auprès du Centre de Formalités des Entreprises compétent. - Si vous ne changez pas d'activité : Vous ne bénéficiez pas de la dispense d'immatriculation au RCS ou au RM. Vous devez remplir un formulaire d'adhésion. Ce document est disponible sur le site www.lautoentrepreneur.fr ou auprès du Centre de Paiement du RSI. Je vous précise que les professions libérales relevant de la CIPAV avant le 1er janvier 2009 ne peuvent pas bénéficier de ce régime.
* Quelle est ma couverture sociale ?
Vous bénéficiez de la même couverture sociale que les professions indépendantes.
* Est-ce que je suis couvert en cas d'accident du travail ?
Les travailleurs indépendants n'ont pas de couverture spécifique accident du travail puisqu'ils ne cotisent pas pour ce risque. Ils sont pris en charge normalement dans le cadre de leur couverture maladie : remboursements et indemnités journalières (les professions libérales sont exclues du versement des indemnités journalières).
* Si j'opte pour le statut de l'auto-entrepreneur, aurais-je des droits pour la retraite ?
Effectivement, dès lors que vous exercez une activité commerciale ou artisanale relevant du RSI, vous pourrez valider des droits à la retraite.
Ces droits sont calculés selon le chiffre d'affaires réalisé.
Un trimestre de retraite est automatiquement validé si l'activité est exercée sur une année civile complète. Selon le chiffre d'affaires, l'assuré pourra valider jusqu'à 4 trimestres.
Pour valider 4 trimestres de retraite, il convient de réaliser un chiffre d'affaires minimum qui dépend de l'activité exercée :
- 24 028 € pour une activité de vente - hôtellerie - restaurant
- 13 936 € pour une activité de prestation de service soumise aux BIC (bénéfices industriels et commerciaux)
- 10 558 € pour une activité de prestation de service soumise aux BNC (bénéfices non commerciaux)
Si l'activité n'est pas réalisée sur une année civile complète (en début ou en fin d'activité), il convient de réaliser un chiffre d'affaires minimum pour bénéficier de la validation d'un trimestre de retraite, soit :
- 6006 € pour une activité de vente - hôtellerie - restaurant
- 3484 € pour une activité de prestations de service soumise aux BIC
- 2640 € pour une activité de prestations de service soumise aux BNC
Des droits sont également validés dans le régime complémentaire.
Pour plus d'informations, je vous invite à consulter le site www.le-rsi.fr.
Si vous relevez de la Cipav pour votre assurance vieillesse, une convention est en cours pour définir les modalités à remplir afin de valider des trimestres de retraite complémentaire
Toutes les questions/réponses sur http://www.lautoentrepreneur.fr/questions_reponses.htm#QuestionsG1
Manuel pour devenir entrepreneur écolo ET économe Publié le 9 octobre 2009 par Gautier Girard dans la rubrique Gestion et comptabilité.
"Quand le développement durable permet de réduire les coûts de l'entreprise... c'est tout de suite plus excitant de s'y mettre! Je vous propose un petit Manuel à l'attention de l'entrepreneur écologique ET économe."
Il y a un côté sympa avec l’écologie, quand on est un citoyen de la Terre. Quand on dit qu’on fait des actions pour protéger l’environnement, on est de suite bien vu. Mieux que ça : on se sent mieux. Moins coupables de surconsommer, à juste titre, grâce à ce petit geste pour la Terre. Quand on est entrepreneur, on peut faire encore mieux pour l’environnement : faire des petits gestes, mais à l’échelle de TOUTE l’entreprise. Et là, même si l’entreprise ne fait qu’une personne, on change de dimension : *Par ces gestes heureux pour l’environnement,
- On réduit son impact sur l’environnement - On fait preuve d’exemplarité envers son environnement relationnel (clients, fournisseurs, etc), et on promeut l’idée par l’image qu’on véhicule
- On réduit les coûts de l’entreprise (et si vous êtes aussi radin que Tati Monique, cela vous fait une excellente raison de vous y mettre dès maintenant).
"La démarche écologique, c’est gagnant pour vous, gagnant pour la Terre."
Les entrepreneurs sont plus que jamais confrontés à la question du développement durable. Concernés et désireux de s’impliquer, ils ne savent pas toujours comment traduire leur volonté d’engagement par des agissements concrets au sein même de l’entreprise. Pourtant, repenser le fonctionnement de l’entreprise est une opportunité de changement et d’évolution. C’est aussi un moyen de réaliser facilement des économies. Si c’est bon pour la planète et bon pour votre portefeuille, pourquoi s’en priver ? L’intérêt est que cela marche quelle que soit la taille de votre entreprise : que vous soyez 1 ou 1 000, l’impact sur les coûts et sur l’environnement est visible. Vous pouvez d’ailleurs commencer par réaliser quelques gestes simples :
- Quand vous partez, pensez à éteindre les lumières. Éteignez aussi les radiateurs. C’est tout bête, mais cela se traduit par une diminution de votre consommation d’énergie… et donc du montant de votre facture.
- Mettez un écran de veille sur vos ordinateurs, et assurez vous d’un délai de déclenchement court. J’ai mis le mien à 3 minutes. Pas mal de collègues le mettent carrément à 1 minute. Pensez à utiliser un écran de veille très sombre, à tendance noir si possible. Cela consomme moins d’énergie.
- Enfin, éteignez l’informatique si vous savez que vous n’y toucherez pas pendant 1 heure ou plus. - Réduire la facture d’électricité c’est aussi simple qu’appuyer sur des boutons : éteindre tous les appareils en veille. On estime que les modes “veille” consomment 20% de l’électricité moyenne d’un foyer français. Si vous donnez 100 euros chaque année en électricité, vous pouvez en gagner 20 facilement…
- Remplacez les gobelets en plastique par des tasses, ou des verres personnalisés. Au delà de l’aspect écologique, vous donnez de l’humanité à votre entreprise. C’est bon pour le bien-être du personnel, c’est bon pour l’ambiance, donc c’est bon pour la productivité.
- Limitez le nombre de vos déplacements : La puissance d’un chef d’entreprise se mesure de plus en plus à sa capacité à se projeter partout, à n’importe quel moment, de façon physique ou virtuelle. A mesure du développement, on ne peut plus être présent physiquement partout sans avoir un impact élevé sur l’environnement. Cela peut aussi s’avérer inutile.
- Avec les outils d’audio et de webconférence, de nombreux déplacements physiques peuvent être dématérialisés. Vous y gagnerez largement car, en plus des économies réalisées, vous aurez plus de temps à consacrer à votre entreprise (ou à votre vie personnelle).
- Réduisez votre consommation de papier : avec l’e-mail, le téléphone et le scanner, vous pouvez envoyer vos factures, vos devis et même mettre en place un système de signature électronique des contrats. Là encore, les coûts sont réduits et le temps gagné est non négligeable.
- Une entreprise d’une personne peut ainsi aisément se retrouver dématérialisée au minimum à 80%.
- Moins de papier, c’est aussi moins de temps de traitement grâce à l’informatisation : c’est donc de l’argent! - Consommez « écologique » : filtres à cafés, produits d’entretien, objets publicitaires… tous les produits dont vous pouvez avoir besoin se trouvent facilement, à des prix compétitifs. Conseil : parlez-en à quelques collègues, clients, fournisseurs pour grouper les achats et réduire encore les coûts.
- Cette liste est loin d’être exhaustive !
"Vers la conquête de nouveaux clients ?"
Saviez vous que le développement durable représente le troisième critère de choix des acheteurs, après le coût et la qualité ? En demandant un label de qualité environnementale, vous rassurez vos clients potentiels. Sans compter que les meilleures initiatives écologiques sont désormais récompensées par de nombreux prix et récompenses… C’est donc le moment idéal pour mener une réflexion de fond sur les applications du développement durable dans votre entreprise.
Voici le logo que CoffeeWebDesign a créé pour TheOffice.
Grâce au CoworkingVisa, les coworkers de TheOffice pourront, lorsqu'ils sont en déplacement à l'étranger, travailler gratuitement, sous réserve de réservation, dans un des autres nombres coworking offices présents dans le Monde qui le proposent, à savoir :
Amérique : SanFrancisco, LosAngeles, SanDiego, Seattle, Boston, Philadelphia, NewYorkCity, NewOrleans, Houston, Dallas, Montreal, Toronto, Vancouver, BuenosAires, SaoPaulo, Montevideo.
Europe : Dublin, Brighton, Utrecht, Milan, Madrid, Barcelone, Lausanne, Vienne, Budapest.
Asie-Pacifique : Melbourne, Wellington, Bangkok.
3. Ou TheOffice peut être partagé par 3 sociétés de 6 personnes maximum pour 2100€/mois/société avec domiciliation et tout service compris.
4. Salle de conférence : Ouverte à tous les membres mensuels, à toute heure de la semaine, selon le planning, à concurrence de 2h/semaine et 8h/mois. Accueille 8 à 20 personnes. Elle peut être également louée pour 100€ la demi-journée ou 150€ la journée (membres mensuels : 50€ – 75€ pour des réservations en sus).
Tandis que les pays anglo-saxons suivies par la majorité des pays européens voient leur nombre de coworking offices exploser, la France a du retard. Seulement deux espaces sont disponibles à la capitale.
LaRuche qui a soufflé sa première bougie en Mai 2009 à Paris propose un espace de coworking pour les entrepreneurs sociaux et LaCantine ouvert en Février 2008 aux entreprises du numérique et autres. Notre coworking sera bien évidemment ouvert à tous également!
Notre valeur ajoutée: l’esprit environnementale au coworking! Et au programme : des precamps, conférences, networking, jelly, cours...
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